Joël Adam : guitare, chant
Jean Clermont : clarinette
Pierre Brice : contrebasse (Ouest)
ou
Stéphane Loyau : contrebasse (Est)
Avec une interprétation personnalisée,
« Jojo et les Argonautes » déterrent quelques perles
de la chanson française enfouies sous les croûtes de
la daube industrielle.
Chaque musicien provenant d’un genre différent,
folk, manouche et jazz, le trio retaille sans chichis ces joyaux
des années 30 à 60, période où l’humour associé à une orchestration riche et variée est injustement
tombée dans l’oubli.
sur un fond de ballade jazzy
et de swing alternatif
Entre autres au programme :
« Ma régulière » de M.Chevalier, « J’ai bu » de G.Ulmer,
« Le grand café » de Charles Trenet,
« Le nez de Cléopâtre » de Ray Ventura,
« Le régiment des mandolines » de Jacques Hélian,
« Moi j’fais mon rond » de C.Aznavour, « Ronsard 58 » de S.Gainsbourg,
« L’amour prison » de J.Dutronc,
« La complainte du progrès » de B.Vian,
sans oublier Nougaro, Coluche…
et les copains.
Bref !
Chansons de bandits, de maquereaux,
de poltrons misogynes, d’amoureux déchus,
de machos abrutis, de « caves » frelatés…
Tout ça dans l’espoir et,
ou le désespoir !!!?